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6- Pourquoi un objectif est à portée de main

Pourquoi un objectif est à portée de main si nous possédons l’intelligence émotionnelle ?

 

 
Pourquoi un objectif est à portée de main
si nous possédons l’intelligence émotionnelle ?

Comment appelle-t-on un « nerd » vingt ans après ?

Chef !

Cette blague nous ne la trouvons pas dans un livre de blagues.

Daniel Goleman, psychologue et journaliste américain connu pour son œuvre « Intelligence Emotionnelle » publiée en 1997, cite cette expression pour expliquer comment de nos jours, il est préférable d’être en rapport avec des personnes qui connaissent la bonne solution et qui ont des moyens gagnants de dialoguer avec les autres, plutôt qu’avec des personnes à fort potentiel intellectuel mais sans compétences emphatiques ou autres méthodes persuasives.
L’auteur explique notamment pourquoi ce modèle de leadership aujourd’hui est dépassé, sans réelle capacité d’entretenir des relations convenables.
Que l’intelligence logico-mathématique ne soit pas la seule attitude qui caractérise les personnes capables et promptes au succès est aujourd’hui une donnée acquise.

Mais il est également vrai que, même si nous possédons d’autres facultés, c’est toujours sur celle-ci que nous continuons à diriger toutes nos chances.

Nous étudions… nous nous formons… nous nous diplômons… nous suivons un master et à la fin, nous nous habilitons.
Mais nous négligeons le fait que pour tout le reste de notre vie, ce sont les faibles compétences qui guideront nos choix, et non pas celles que nous maîtrisons.
C’est ainsi avec les émotions.

Cela dépend d’elles si le talent qui nous a accompagné tout au long de notre vie reste inexprimé ou ouvre les portes d’accès à nos rêves.

Qu’est-ce que c’est l’intelligence émotionnelle ?

Littéralement l’intelligence émotionnelle est la capacité d’évaluer les conséquences d’abord sur le plan émotif de nos choix et de nos décisions.
De plus, c’est cette capacité qui, plus que les résultats scolaires et l’intelligence au sens commun, détermine des résultats surprenants dans la vie.
Pour cette raison, si tu partages ta vie avec la mauvaise personne ou si tu confies ton argent à un improbable consultant financier, c’est avec ton sixième sens que tu dois t’en prendre.
Daniel Goleman l’affirme dans son œuvre « l’Intelligence émotionnelle ».
En fait, avec ce terme d’intelligence émotionnelle, Goleman indique d’autres capacités qui incluent les capacités de l’individu :
• Se motiver,
• Persister pour rejoindre les objectifs malgré les difficultés et les frustrations,
• Contrôler les impulsions,
• Retarder les gratifications,
• moduler les états d’âmes surtout en réussissant à bien penser aussi dans des conditions émotives de souffrance,
• comprendre,
• espérer, dans le sens de conserver la confiance en ses propres moyens.

Goleman n’est pas le premier à avoir parler d’intelligence émotionnelle.

Déjà dans les années vingt du siècle dernier, l’éminant psychologue américain Edward Lee Thorndike avait contribué à répandre une idée d’intelligence liée au monde des émotions, dans lequel l’un des aspects était l’intelligence sociale ou l’intelligence personnelle, indiquée aussi par Howard Gardner comme interpersonnelle et intrapersonnelle.
L’intelligence interpersonnelle et celle intrapersonnelle.
La première est la capacité que la personne dotée d’un coefficient émotif élevé, abrégé en EQ pour le distinguer du Q.I., d’ :
 entretenir relation gratifiante et efficace,
 conserver les amitiés,
 résoudre les conflits,
 développer rapidement l’analyse sociale dans un groupe,
 partager et comprendre les états émotifs des autres personnes,
 distraire les autres des émotions négatives, destructives, comme la colère, qui empoisonne l’existence des personnes et obscurcissent la lucidité.
La deuxième est la capacité d’exercer un contrôle sur sa vie émotive pour prévenir le sabotage de soi-même, à cause d’un trouble intérieur qui limite l’efficacité de la pensée constructive.

Les personnes ayant cette habilité sont capable de se distraire et de distraire leurs pensées d’émotions dangereuses, évitant ainsi qu’un moment de tristesse ne dégénère en désespoir ou qu’un souci ne devienne une dépression.

Qui est intelligent ?
Selon les études de Peter Salovey et Robert Stenberg, psychologue de Yale, cités dans le travail de Goleman, une personne peut être définie intelligente principalement si elle exprime une capacité pratique d’ordre émotif et relationnel.
C’est-à-dire que, selon ces éminents auteurs, qui incorporent les œuvres de Gardner, une personne réalise pleinement sa propre existence si elle satisfait à une pyramide idéale de son leadership en cinq étapes. C’est-à-dire si :
• elle connait ses émotions. La capacité de reconnaitre et assigné le juste nom des émotions, quand ils se présentent, c’est le concept clé de l’intelligence émotionnelle.
• elle réussit à contrôler ses émotions. Se calmer, se distraire de la colère, se libérer des états d’anxiété ; en effet, ceux sont des situations qui dépendent de la conscience de soi, c’est-à-dire de la reconnaissance des émotions.
• elle sait comment se motiver. Dominer les émotions est essentiel pour se redécouvrir créatif, pour retrouver concentration et attention, pour se motiver dans la réalisation des objectifs. Vice versa, car si les émotions négatives sont non élaborées, elles détournent toujours la concentration.
• elle a des dons empathiques qui naissent de la reconnaissance des émotions des autres, fondées sur la connaissance de ses propres émotions.
• En effet, elle sait gérer les relations, l’art dans lequel s’alimente toutes les compétences sociales qui proviennent de la reconnaissance des émotions, propres et celles des autres.

Toujours en temps
Y a-t-il un temps défini dans lequel on développe l’intelligence émotionnelle ?

En réalité, NON !
Il y a toujours du temps quand nous voulons nous améliorer.
L’idéal serait de cultiver cette attitude innée depuis l’enfance.
Un rôle fondamental, que devraient exercer la famille et l’école.
Mais si rien ne se produit, les études démontrent que les compétences émotives peuvent être apprises, affinées et entrainées à tout âge.
A chaque instant, nous pouvons nous programmer au succès avec l’intelligence émotionnelle.
Toutefois, il suffit de le vouloir, de se positionner prêt au changement et à un nouvel apprentissage.
Pratiquer la créativité, trouver du temps pour soi-même et pour ses proches, s’entourer de personnes stimulantes, cultiver le bien-être psychophysique et enrichir son vocabulaire émotif.

Eric Gimbert,
Adaptation française des écrits de Stefano Centonze,
auteur de : Intelligenza Emotiva

#IntelligenceEmotive #UniversitéSagesse
Nerd : mot d’origine anglaise qui définit une personne passionnée d’informatiques, un tantinet asocial qui ne partage pas ses passions avec les autres.


Comment appelle-t-on un « nerd » vingt ans après ?

Chef !

Cette blague nous ne la trouvons pas dans un livre de blagues.

Daniel Goleman, psychologue et journaliste américain connu pour son œuvre « Intelligence Emotionnelle » publiée en 1997, cite cette expression pour expliquer comment de nos jours, il est préférable d’être en rapport avec des personnes qui connaissent la bonne solution et qui ont des moyens gagnants de dialoguer avec les autres, plutôt qu’avec des personnes intellectuelles mais sans compétences emphatiques ou autres manières persuasives.

Il explique notamment pourquoi ce modèle de leadership aujourd’hui soit dépassé, sans réelle capacité d’entretenir des relations convenables.

Que l’intelligence logico-mathématique ne soit pas la seule attitude qui caractérise les personnes capables et promptes au succès, est une donnée acquise.

Mais il est également vrai que, même si nous possédons d’autres facultés, c’est toujours sur celle-ci que nous continuons à diriger toutes nos chances.

Nous étudions… nous nous formons… nous nous diplômons… nous suivons un master et à la fin, nous nous habilitons.

Mais nous négligeons le fait que pour tout le reste de notre vie, ce seront les faibles compétences qui guideront nos choix, et non pas celles que nous maîtrisons.

C’est ainsi pour les émotions.

Cela dépend d’elles si le talent qui nous a accompagné tout au long de notre vie reste inexprimé ou ouvre les portes d’accès à nos rêves.

Qu’est-ce que c’est l’intelligence émotionnelle ?

Littéralement l’intelligence émotionnelle est la capacité d’évaluer les conséquences d’abord sur le plan émotif de nos choix et de nos décisions.

De plus, c’est cette capacité qui, plus que les résultats scolaires et l’intelligence au sens commun, détermine des résultats surprenants dans la vie.

Pour cette raison, si tu partages ta vie avec la mauvaise personne ou si tu confies ton argent à un improbable consultant financier, c’est avec ton sixième sens que tu dois t’en prendre.

Daniel Goleman l’affirme dans son œuvre « l’Intelligence émotionnelle ».

En fait, avec ce terme d’intelligence émotionnelle, Goleman indique d’autres capacités qui incluent les capacités de l’individu :

  • Se motiver,
  • Persister pour rejoindre les objectifs malgré les difficultés et les frustrations,
  • Contrôler les impulsions,
  • Retarder les gratifications,
  • moduler les états d’âmes surtout en réussissant à bien penser aussi dans des conditions émotives de souffrance,
  • comprendre,
  • espérer, dans le sens de conserver la confiance en ses propres moyens.

Goleman n’est pas le premier à avoir parler d’intelligence émotionnelle.

Déjà dans les années vingt du siècle dernier, l’éminant psychologue américain Edward Lee Thorndike avait contribué à répandre une idée d’intelligence liée au monde des émotions, dans lequel l’un des aspects était l’intelligence sociale ou l’intelligence personnelle, indiquée aussi par Howard Gardner comme interpersonnelle et intrapersonnelle.

L’intelligence interpersonnelle et celle intrapersonnelle.

La première est la capacité que la personne dotée d’un coefficient émotif élevé, abrégé en EQ pour le distinguer du QI, d’ :

  • entretenir relation gratifiante et efficace,
  • conserver les amitiés,
  • résoudre les conflits,
  • développer rapidement l’analyse sociale dans un groupe,
  • partager et comprendre les états émotifs des autres personnes,
  • distraire les autres des émotions négatives, destructives, comme la colère, qui empoisonne l’existence des personnes et obscurcissent la lucidité.

La deuxième est la capacité d’exercer un contrôle sur sa vie émotive pour prévenir le sabotage de soi-même, à cause d’un trouble intérieur qui limite l’efficacité de la pensée constructive.

Les personnes ayant cette habilité sont capable de se distraire et de distraire leurs pensées d’émotions dangereuses, évitant ainsi qu’un moment de tristesse ne dégénère en désespoir ou qu’un souci ne devienne une dépression.

Qui est intelligent ?

Selon les études de Peter Salovey et Robert Stenberg, psychologue de Yale, cités dans le travail de Goleman, une personne peut être définie intelligente principalement si elle exprime une capacité pratique d’ordre émotif et relationnel.

C’est-à-dire que, selon ces éminents auteurs, qui incorporent les œuvres de Gardner, une personne réalise pleinement sa propre existence si elle satisfait à une pyramide idéale de son leadership en cinq étapes. C’est-à-dire si :

  • elle connait ses émotions. La capacité de reconnaitre et assigné le juste nom des émotions, quand ils se présentent, c’est le concept clé de l’intelligence émotionnelle.
  • elle réussit à contrôler ses émotions. Se calmer, se distraire de la colère, se libérer des états d’anxiété ; en effet, ceux sont des situations qui dépendent de la conscience de soi, c’est-à-dire de la reconnaissance des émotions.
  • elle sait comment se motiver. Dominer les émotions est essentiel pour se redécouvrir créatif, pour retrouver concentration et attention, pour se motiver dans la réalisation des objectifs. Vice versa, car si les émotions négatives sont non élaborées, elles détournent toujours la concentration.
  • elle a des dons empathiques qui naissent de la reconnaissance des émotions des autres, fondées sur la connaissance de ses propres émotions.
  • En effet, elle sait gérer les relations, l’art dans lequel s’alimente toutes les compétences sociales qui proviennent de la reconnaissance des émotions, propres et celles des autres.

Toujours en temps

Y a-t-il un temps défini dans lequel on développe l’intelligence émotionnelle ?

En réalité, NON  !

Il y a toujours du temps quand nous voulons nous améliorer.

L’idéal serait de cultiver cette attitude innée depuis l’enfance. Un rôle fondamental, que devraient exercer la famille et l’école.

Mais si rien ne se produit, les études démontrent que les compétences émotives peuvent être apprises, affinées et entrainées à tout âge.

A chaque instant, nous pouvons nous programmer au succès avec l’intelligence émotionnelle.

Toutefois, il suffit de le vouloir, de se positionner prêt au  changement et à un  nouvel apprentissage.

Pratiquer la créativité, trouver du temps pour soi-même et pour ses proches, s’entourer de personnes stimulantes, cultiver le bien-être psychophysique et enrichir son vocabulaire émotif.

Eric Gimbert,
Adaptation française des écrits de Stefano Centonze,
auteur de : Intelligenza Emotiva

Nerd : mot d’origine anglaise qui définit une personne passionnée d’informatiques, un tantinet asocial qui ne partage pas ses passions avec les autres.

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