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ÉTAT DE FATIGUE 

La fatigue, motif majeur de consultation… 500 000 personnes par jour expriment cette plainte.
Attention cela peut devenir un mal chronique !

Quand parler de problématique ?

A partir du moment où la fatigue est anormale au regard de la cause. Il existe différents moments où l’absence de vigilance se manifeste : le coup de pompe de midi, d’après le repas, celui du début de soirée.
La fatigue du lundi, l’état anti-physiologique (à savoir : fatigué le matin et en forme le soir) sont aussi des manifestations qui doivent alerter.
Bien évidemment lorsque les insomnies s’ajoutent, le phénomène ne fait qu’amplifier.
Cela constitue alors une alerte, il faut reconsidérer l’hygiène de vie dans un premier temps. Mais des problèmes sous-jacents, la répétitivité et la durée de la plainte sont aussi des facteurs d’aggravations.

Il semblerait que la population dans son ensemble soit touchée.

S’il est vrai que nos anciens avaient des travaux plus pénibles sur le plan fonctionnel, il n’est pas moins vrai que notre stress quotidien atteint des seuils importants. En effet si notre vie est plus douce car plus robotisée, les sources de perturbations nerveuses sont croissantes et constituent un traumatisme nerveux sur le long terme. L’hyper stimulation sensorielle constitue un facteur de fatigabilité nerveuse.


Les horaires de lever et de coucher non adaptés à notre horloge biologique accentuent le symptôme. Le manque de lumière de l’hiver, mais aussi des carences alimentaires y sont souvent associés.
Il est nécessaire, si les troubles de l’attention persistent, d’en parler au médecin. Ainsi un examen plus approfondi, des bilans sanguins, un interrogatoire plus poussé sur les conditions de vie, l’analyse des voies d’amélioration sont autant d’outils qui permettent d’évaluer l’ensemble du problème.

Les différents types de fatigues engagent une prise en charge adaptées, c’est pourquoi il est bon de faire un tour d’horizon complet pour déterminer si l’origine est physique ou psychique ; s’il s’agit de chronicité.


Bien sûr le premier remède à la crise aiguë est le repos…

…mais cela n’est pas toujours suffisant. Un petit coup de pouce peut être nécessaire pour faire face.
La carence vitaminique peut être une piste.


La croissance, la grossesse, l’allaitement, alimentation monotone, excès de tabac ou d’alcool sont autant de situations à risque car elles augmentent les besoins.


Ainsi il faut veiller à un juste équilibre alimentaire.

La perte du rythme des repas, le grignotage, les déjeuners pris sur le pouce dans de mauvaises conditions sont souvent des comportements induits par le stress. Prendre le temps de manger, dans un endroit calme, tempéré et assis, nous invite à la détente, modifiant alors la perception de la fatigue.

Les symptômes

Les plus fréquents sont :
– Troubles musculaires (douleurs des muscles, crampes, tremblement, baisse de la résistance à l’effort…)
-Trouble du sommeil (difficulté d’endormissement, sommeil agité, hyper ou insomnie…)
-Trouble intellectuel (difficulté de concentration, de mémorisation, vigilance et capacité intellectuelle diminuée…)
-Trouble sexuel (perte ou absence de libido, impuissance, frigidité…)
-Trouble digestif (constipation, diarrhée, spasme alimentaire, transit irrégulier, appétence modifié…)
-Trouble du caractère (irritabilité, émotivité, anxiété, tristesse, démotivation…)
-Trouble somatique (gorge serrée, palpitation, sudation, difficulté respiratoire…)

Comment retrouver le tonus ?

Il est des idées reçues à combattre :
Le chocolat, les sucreries sont des anti-stress. Il est vrai qu’en les consommant on ressent un effet coup de fouet. Certes ; mais cela ne dure pas. L’organisme les assimile rapidement, d’où une glycémie haute favorisant cette sensation d’énergie qui s’estompe rapidement. S’il faut nous faire plaisir, l’argument avancé sur le plan énergétique ne peut être à long terme, car outre l’absence de stabilisation de la fatigue ces aliments pris en quantité nous font grossir.


De même le tabac ne déstresse pas. Oui, sur l’instant votre tension artérielle, votre rythme cardiaque augmente puisque c’est un excitant. Mais à terme votre organisme s’asphyxie et la dépendance se crée.
Il est donc primordial de revoir son hygiène de vie :

  • dormir en quantité et qualité,
  • une bonne organisation alimentaire,
  • éviter les alcools et le tabac,
  • varier son alimentation pour éviter les carences.
  • Faire des cures d’oligo-éléments, sels minéraux et vitamines.
  • Respirer, avoir une activité plaisir (sport, relaxation, lecture…),
  • savoir recevoir en douceur la lumière du soleil.
  • Et rire une minute par jour, provoque quarante-cinq minutes de relaxation physique,

c’est excellent pour le système neurovégétatif.

  • La réflexologie plantaire peut être un outil appréciable pour un retour au mieux- être.
  • La réflexologie occidentale peut vous accompagner dans cette prise en charge globale.
  • La réflexologie plantaire énergétique associée à la médecine traditionnelle chinoise va potentialiser l’effet du traitement, et harmoniser l’énergie perturbée. C’est pourquoi il est bon de faire une à deux séances avant l’hiver et l’été. Cela en plus vous permettra de prendre un peu de temps pour vous.

Si la fatigue est du matin, on peut supposer que le foie est surchargé et cela peut à long terme favoriser une déminéralisation.

Si la fatigue est en fin de matinée ou après le repas alors que le sujet s’alimente aux deux repas ? On peut supposer que le stress rend difficile la digestion.

Si à présent, c’est en début de soirée que se manifeste la fatigue, on sait alors que le foie a atteint sa limite.
Si l’endormissement se fait trop tôt avec de multiples réveils nocturnes, il s’agit probablement d’un état d’épuisement.

Comment aider ?

Bien sûr voir votre médecin est impératif si le symptôme persiste. Faire avec lui un examen soigneux et poussé.

Mais avant d’être dans cet état avancé de fatigue, il convient de veiller aux oligo-éléments.

  • Pour une fatigue matinale penser à une possible carence en manganèse.
  • Le stress chez les gens actifs et nerveux peut entrainer une déminéralisation et une fonction hépatique perturbée.
  • Pour une fatigue de fin de matinée, peut être un manque de cobalt, zinc, nickel. Il s’agit de grande fatigue nerveuse avec tendance aux spasmes, maux de ventre et d’estomac.
  • Pour une fatigue après repas c’est la digestion qui mobilise toute l’énergie. Le feu digestif est en manque. Nux vomica en homéopathie est peut-être une piste ?
  • Pour une fatigue vespérale avec côlon irrité, colopathie ou encore perte de dynamisme tout au long de la journée pour toute activité, il s’agit peut-être d’un manque de cuivre-or-argent.
  • Pour une fatigue du soir hors proportion avec le travail effectué. Soyez vigilant quant à votre apport en manganèse et cuivre.
  • Pour une fatigue durant toute la journée en ayant le sentiment d’avoir « vieilli avant l’heure », le cobalt et le manganèse sont peut-être en déficience

Certaines plantes sont aussi d’excellents outils pour améliorer votre état.

 

  • La prêle est très intéressante pour son pouvoir de reminéralisation,
  • l’angélique pour l’anémie et l’impuissance associée à la fatigue,
  • le fucus est aussi intéressant pour stimuler le métabolisme général,
  • l’ortie possède une grande richesse en sels minéraux, vitamines acides aminés,
  • et bien-sûr le ginseng, anti-stress, adaptogène et la gelée royale.
En vous souhaitant un été en pleine forme, vous êtes prêt à pétiller la vie !

Mincir en grande forme

Avec l’arrivée de l’été penser à sa silhouette est légitime. Il est temps d’éliminer les kilos superflus pour retrouver le bien-être. 


Mincir SANS faire un régime draconien est possible et à la portée de chacun.


Les origines de la prise de poids

Les mauvaises habitudes alimentaires, les modes de vie inadaptés, le manque d’exercice physique sont souvent les causes de la surcharge pondérale. (Autres facteurs intervenant dans la prise de poids : l’arrêt du tabac, les modifications hormonales, les chocs psychologiques, les prises médicamenteuses…)

Pendant l’hiver notre corps a stocké, les besoins énergétiques étant plus important. 

Puis le processus s’inverse pour préparer l’été. Le corps a besoin de s’alléger, le sang DOIT ETRE fluide et dépollué.


Comment trouver le bon équilibre ?

Après avoir drainé notre organisme et refait la flore intestinale, il conviendra de modifier l’apport calorique. Un minimal de nutriments étant nécessaire afin de ne pas induire de carence. Ce besoin minimum varie pour chaque individu selon ses caractéristiques propres et ses activités.

Il faut privilégier les bonnes graisses (celle des poissons, les huiles végétales 1er pression à froid), les glucides ayant un index glycémique bas, les protéines maigres (jambon blanc, volaille, légumes secs).

Pourquoi proposer un apport supplémentaire de protéines ?

Elles font brûler plus de calories, réduisent aussi l’appétit, empêchent la fonte musculaire.

En effet, la production de corps cétoniques (via la métabolisation des protéines) supprime la faim et les pulsions alimentaires.

Quant à l’index glycémique ? 


L’indice glycémique (ou IG) est un classement alternatif des aliments, non pas selon leur taux calorique mais selon la rapidité avec laquelle ils font varier le taux de sucre dans le sang.

  • Quelques conseils pour un apport équilibré (au regard de l’IG).

A la plupart des repas consommez :

  • Des oléagineux (aliments à base de céréales complètes), des fruits et légumes – A volonté

  • Des noix et légumineuse – 1 à 2 fois par jour

  • Les poissons/volailles/œufs – jusqu’à 2 fois par jour
  • 
On limitera les laitages à 1 par jour
  • Et occasionnellement viande rouge, riz blanc, pommes de terre, pates et sucrerie.
 

  • Est-il important d’effectuer un vrai repas ?

OUI…

La mastication est un élément important qui intervient dans la sécrétion des sucs digestifs et qui est nécessaire pour ressentir le sentiment de satiété. 

Donc il faut prendre le temps de manger. Et manger en ayant une notion de PLAISIR et non de frustration. Privilégier les repas fait maison, ainsi vous pouvez manger des aliments saisonniers, pleins de vitamines (et vous maitrisez mieux l’apport en sel/sucre et le type de cuisson).


Le stress est-il un frein ?

Oui dans certain cas l’anxiété, le stress perturbent le mécanisme de l’assimilation des sucres et graisses. 

A ce dérèglement peut aussi s’associer des pulsions alimentaires (plutôt organisées vers le sucre). La personne mange de façon compulsive afin de palier à une détresse psychologique. Il existe, dans ce cas, une notion de réconfort alimentaire, qui n’est en fait qu’un leurre.

Pour les cas énoncés, il convient donc de se relaxer. 

La perte de poids doit être accompagnée d’une prise en charge PLAISIR. Penser à vous et ne pas cogiter sur le poids indiqué sur la balance tous les matins. Penser à se faire masser. 


Le Tuina minceur est un excellent soin qui allie massage du ventre en douceur pour les tissus, drainages des organes, points d’accupression pour un travail de régulation du métabolisme et de l’énergie mais aussi ventouses pour renforcer l’élimination lymphatique, la délocalisation graisseuse et lutter contre la cellulite.

La réflexologie faciale peut aussi vous aider pour renforcer l’effet starter de la perte de poids. Une série de 5 séances joue un rôle de booster, liant une prise en charge des pulsions ainsi qu’une action sur le métabolisme.

Pensez bien sûr à vous HYDRATER, le sentiment de soif est associé au sentiment de satiété. Si vous ressentez la soif, vous connaissez la vraie sensation de faim. Il faut savoir ce qu’est la faim, pour éviter le grignotage. 

L’apport d’eau est nécessaire pour un fonctionnement harmonieux du métabolisme. Moins vous buvez d’eau plus l’organisme en système de défense stocke l’eau. 


C’est alors un cercle vicieux…


Dormez-vous bien ? 


Durant la nuit votre organisme consomme du glucose pour se régénérer. 

De plus des chercheurs de l’université de Warwick*1 ont récemment découvert que la privation de sommeil pouvait conduire à l’obésité. En effet un manque de sommeil entraine une production accrue de Ghrénine (hormone qui stimule l’appétit) et de surcroit cette perturbation du sommeil induirait aussi une diminution de la Leptine (hormone qui supprime l’appétit).

Il faut donc avoir une quantité et une qualité de sommeil adéquate pour favoriser la perte de poids.


Et si les plantes pouvaient aussi nous aider ?

  • Hoodia Gordonii pour manger moins, sans effort et limiter notre ration alimentaire.
  • Ficus Carica, Papaye sont d’excellent désinfiltrants.
  • Ananas permet de désinfilter les tissus œdémateux ou congestionnés.
  • Curcuma est indiqué dans le traitement de la cellulite.
  • Algues sont favorables pour la délocalisation de la cellulite.
  • Thé vert active la lipolyse donc la fonte des graisses.
  • Fenouil permet d’atténuer les ballonnements et les maux d’estomac.


Et l’activité sportive ?

Evidement si vous souhaitez renforcer votre perte de poids et la faire tenir dans le temps l’activité physique est le complément idéal. 


Bien-sûr cela va favoriser la fonte des graisses, tonifier vos muscles, regalber votre silhouette et vous faire sécréter des endorphines, hormones du plaisir.

Quelques exemples de dépense énergétique par heure (en moyenne)

  • Jardinage : 150 à 200 Cal
  • Vélo : 350 à 500 Cal
  • Jogging : 400 à 600 Cal
  • Natation : 200 à 300 Cal
  • Tennis : 300 à 400 Cal
  • Marche rapide : 150 Cal


En vous souhaitant un été plein de légèreté, soyez bien dans votre corps !


Sources :

*1 – Michelle A Miller, Marlot Kruisbrink, Joanne Wallace, Chen Ji, Francesco P Cappuccio. Sleep duration and incidence of obesity in infants, children, and adolescents: a systematic review and meta-analysis of prospective studies Michelle A MillerDivision of Health Sciences (Mental Health and Wellbeing), Warwick Medical School, University of Warwick, Coventry, UK, Sleep, Volume 41, Issue 4, 1 April 2018, zsy018.

C'est quoi la maladie d'Alzheimer ?

La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui s’explique par une perte progressive et incurable du tissu cérébral entraînant la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. C’est la cause la plus fréquente de démence chez l’être humain. Elle fut initialement décrite par le médecin allemand Alois Alzheimer.

La maladie évolue avec une progression caractéristique de troubles cognitifs.

Des chiffres qui alarment

0
Personnes sont atteintes de la maladie
0
Millions de personnes touchées par la maladie
0
Nouveaux cas diagnostiqués par jour
0
4ème cause de mortalité en France

Une France durement touchée par la maladie

La maladie d’Alzheimer est encore mal connue, mal perçue et insuffisamment prise en charge. Les conséquences sont multiples.
Aujourd’hui en France, près de 3 millions de personnes sont directement ou indirectement touchées par la maladie d’Alzheimer.
De jour en jour, la maladie gagne du terrain : près de 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année.
D’ici 2020, notre pays comptera probablement 1 200 000 personnes malades, si on ne change rien.

Une maladie réelle dans le monde

50 millions de personnes sont atteintes de démence dans le monde d’après l’OMS et 152 millions à l’horizon 2050, parmi lesquelles 60 à 70 % sont atteintes de la maladie d’Alzheimer.

Répartition des nouveaux cas en 2015 :

  • 49 % en Asie
  • 25 % en Europe
  • 18 % en Amérique
  • 8 % en Afrique

Les causes et facteurs de la maladie d'alzheimer

Contrairement à d’autres affections, les causes de la maladie d’Alzheimer sont difficiles à identifier. Aujourd’hui, les experts s’accordent sur l’influence de plusieurs facteurs, comme pour de nombreuses maladies chroniques.

  • Les lésions responsables de la maladie

  • Les facteurs de susceptibilité génétique

  • Facteurs de risques, styles de vie 

  • Les facteurs de risques cardiovasculaires

  • Les facteurs environnementaux (tabac, alcool, pollution, certains médicaments…)

  • Les troubles du sommeil 

Les symptômes de la maladie d'ALZHEIMER

La maladie d’Alzheimer se caractérise par un début insidieux et une évolution progressive. Elle entraîne une perturbation du fonctionnement cognitif de la personne malade mais elle engendre également des troubles affectifs et comportementaux.

Les symptômes cognitifs

  • Trous de mémoire : désorientation, difficulté de mémorisation
  • Troubles de langage : difficulté à communiquer
  • Le raisonnement abstrait (fonctions exécutives) : difficulté à exécuter des activités complexes demandant de l’attention et de la concentration.
  • Troubles des gestes (apraxie) : difficulté à exécuter des gestes avec coordination et dextérité.
  • Troubles de reconnaissance (agnosie) : difficulté d’identification des objets ou visages.

Les troubles affectifs et émotionnels

  • L’ Anxiété : agitation, déambulation, comportement de vérification, redondance
  • L’ Apathie : baisse de motivation, perte d’intérêt des activités sociales, de loisirs et repli sur soi
  • L’ Irritabilité :  Humeur changeante, bipolarité et impatience anormale
  • L’ Euphorie : Jovialité excessive sans raison apparente.
  • La Dépression : dévalorisation, culpabilité, idées noires, découragement

Les troubles du comportement

  • L’ Agressivité : agitation, colère
  • Comportement moteur aberrant : comportement sans utilité que le patient fait et refait sans cesse
  • Troubles du sommeil :  Difficulté pour s’endormir, inversion du rythme jour-nuit
  • Troubles de l’appétit :  baisse d’appétit
  • La Désinhibition : comportement inhabituel socialement au regard des valeurs des personnes ou de la famille.
  • Les idées délirantes et Hallucinations : convictions erronées , visuelles auditives, sensorielles (au stade modéré de la maladie)

Quel traitement médical  ?

Il n’existe pas encore de médicament capable de guérir de la maladie d’Alzheimer. A l’heure actuelle, les traitements permettent seulement de ralentir sa progression. Mais pour améliorer la qualité de vie des personnes malades, il existe aussi différentes interventions.

Les traitements médicamenteux

Les traitements actuels prescrits dans la maladie d’Alzheimer sont :

  • Les Inhibiteurs de l’acétylcholinestérase

  • Les Antiglutamates (antagonistes des récépteurs NMDA)

Ils ont ainsi pour but d’augmenter la disponibilité de l’acétylcholine et de favoriser la communication entre les neurones. Leur prescription n’est pas automatique.

Les effets sont visibles : les proches comme les médecins notent une amélioration « modérée mais significative », dans les activités quotidiennes, le langage, le raisonnement, la mémoire… Dans quelques cas, il y a même une amélioration durable de l’attention et de l’autonomie !

Les effets secondaires

Nausées, vomissements ou encore crampes musculaires… Il y a parfois des effets secondaires. Seuls certains médecins comme les neurologues ou les gériatres peuvent autoriser la première prescription. 

Les traitements non-médicamenteux

De nombreuses disciplines peuvent être bénéfiques, avec des ateliers adaptés aux besoins et aux goûts de chacun :

  • la stimulation cognitive, qui passe par des simulations de situations vécues. Effectuée par des psychologues, psychomotriciens ou orthophonistes, elle a pour but de ralentir la perte d’autonomie dans les activités de la vie quotidienne.
  • La rééducation orthophonique. Elle vise à maintenir la communication avec le malade éprouvant des difficultés de langage et est aussi utilisée pour traiter les troubles de la déglutition.
  • La kinésithérapie. Elle a pour but principal de prévenir le risque de chutes, mais peut également avoir des effets sur certains aspects du comportement.
  • la musicothérapie, l’aromathérapie, l’art la thérapie assistée d’animaux… sont utilisées pour améliorer certains aspects du comportement et prévenir l’isolement du malade.

Quel est l' apport de la réflexologie ?

Sous réserve d’être réceptif aux techniques de la réflexologie et en fonction de la compétence du réflexologue, le recours à un soin de réflexologie, entrant dans le champ d’application des techniques naturelles de bien-être et complémentaire à la médecine conventionnelle peut être d’un confort appréciable pour le patient.

  • une amélioration de leur qualité de vie

  • une diminution de leurs symptômes émotionnels et physiques

  •  un sentiment de relaxation et moins d’anxiété

  • une amélioration de leur état de santé général et de leur bien-être

  • un apaisement sur certains effets indésirables des médicaments

Pour aller plus loin

E-FORMATION ALZHEIMER

Une e-formation pour les professionnels de la réflexologie consacrée aux protocoles spécifiques liés à la maladie d' Alzheimer...

des livres pour comprendre

Une sélection de livres et d'ouvrages proposée pour mieux comprendre la maladie et perfectionner sa connaissance médicale...

Trouver un réflexologue professionnel

L'annuaire des professionnels, membres-praticiens de F.I.R.M.A.

Sources :

F.I.R.M.A. / A.R.F / www.frm.org / www.francealzheimer.org /www.alzheimer-recherche.org /wikipedia-alzheimer /doctissimo-alzheimer/

C'est quoi la maladie de Parkinson ?

La maladie de Parkinson est une maladie neurologique chronique qui évolue différemment d’un malade à un autre.

Cette maladie se caractérise par la destruction des neurones à dopamine.

Ces neurones sont impliqués notamment dans le contrôle des mouvements du corps. Lorsque 50 à 70% de ces neurones sont détruits, les symptômes moteurs apparaissent. C’est souvent à ce moment que la personne consulte et que le diagnostic est posé.

Les causes de la maladie sont encore incertaines.

La dégénérescence des neurones est due à des mécanismes multiples. Elle est favorisée principalement par le vieillissement, l’âge étant le principal facteur de risque.

De nombreuses autres hypothèses existent et la combinaison de plusieurs facteurs amènent la prédisposition.

Les symptômes de la maladie de Parkinson

Le premier critère pour poser le diagnostic de la maladie de Parkinson est la présence de deux au moins des trois symptômes majeurs de la maladie :

1 – Une lenteur à initier les mouvements (akinésie),

2 – Une raideur musculaire spécifique,

3 – Un tremblement au repos.

Le fait que les symptômes se manifestent surtout d’un seul côté du corps est assez caractéristique.

On parle de manifestations asymétriques.

Dans la maladie de Parkinson, d’autres manifestations peuvent apparaître : fatigue, apathie, troubles de la motricité…

Quel traitement médical  ?

Les traitements antiparkinsoniens sont prescrits par le neurologue.

Ils évoluent dans le temps et d’une personne malade à une autre.

Les traitements médicamenteux

Les traitements médicamenteux visent à pallier le manque de dopamine soit en mimant l’action de la dopamine, soit en administrant une substance qui sera transformée en dopamine, soit en donnant une substance qui bloque la dégradation de la dopamine.

Ils sont donnés par voie orale dans la majorité des cas.

Le traitement chirurgical

Le traitement chirurgical consiste en une stimulation cérébrale profonde (implantation d’électrodes dans le cerveau).

Les effets secondaires

Les traitements dopaminergiques (Lévodopa ou agonistes) peuvent entraîner différents types d’effets secondaires : nausées, vomissements, dyskinésies, troubles du comportement avec survenance de phénomènes d’addictions (jeux d’argent, achats compulsifs, hypersexualité, grignotage, activités motrices répétées…).

La rééducation physique et orthophonique

La rééducation est un complément essentiel du traitement de la maladie de Parkinson.

Ces traitements permettent d’améliorer la qualité de vie des malades sans toutefois arrêter l’évolution de la maladie.

Quel est l'apport de la réflexologie ?

Sous réserve d’être réceptif aux techniques de la réflexologie et en fonction de la compétence du réflexologue, le recours à un soin de réflexologie, entrant dans le champ d’application des techniques naturelles de bien-être et complémentaire à la médecine conventionnelle peut-être d’un confort appréciable pour le patient.

Le soin va permettre la gestion de l’anxiété et du stress du sujet.

La réflexologie va accompagner le sujet pour atténuer les complications motrices, les pertes d’équilibre, les dysfonctionnements digestifs et apporter une régulation du système végétatif.

Elle apportera également un soulagement du patient sur les effets secondaires liés à la prise médicamenteuse.

Pour aller plus loin

 

Parkinson & Réflexologie :  la e-formation pour les professionnels de la réflexologie consacrée aux protocoles spécifiques à la maladie de Parkinson.

Des livres :  mieux comprendre la maladie

Où trouver un réflexologue professionnel

L'annuaire des réflexologues, membres-praticiens de la fédération internationale F.I.R.M.A.

Sources :

F.I.R.M.A. / A.R.F.

Qu'est-ce qu'une sciatique ?

La sciatique est une douleur du membre inférieur située sur le trajet de la racine L5 ou S1 du nerf sciatique.

Elle est souvent associée à des lombalgies; on parle alors de lombosciatique.

Sa cause principale est une hernie discale, mais l’arthrose lombaire, un traumatisme peuvent en être la cause.

La sciatique est le nom donnée à la névralgie du nerf sciatique.

Le nerf sciatique est un nerf qui assure à la fois la sensibilité d’une partie du membre inférieur et une partie de ses mouvements : il est sensitif et moteur.  C’est le plus gros et le plus long nerf de l’organisme. Il a plusieurs racines naissant de la moelle épinière et qui descendent dans la canal lombaire, formé par les vertèbres, avec les racines des autres nerfs pour former « la queue de cheval » qui baigne dans le liquide céphalo-rachidien.

Les deux principales racines du nerf sciatique sont :

La racine L5 qui sort entre les quatrième et cinquième vertèbres lombaires,
La racine S1 qui sort entre la cinquième lombaire et la première vertèbre sacrée.

les symptômes de la sciatique

Les signes les plus courants sont :

  • Une douleur du bas du dos avec des douleurs dans le membre inférieur variables en fonction de la racine nerveuse atteinte. Cette douleur est souvent déclenchée par un effort (parfois lorsque la personne soulève un poids), une douleur amplifiée en position assise, à la toux, aux éternuements et à l’effort. 
  • Un engourdissement et une faiblesse musculaire pouvant survenir au niveau de certaines zones de la jambe et du pied.
  • Des troubles de la sensibilité avec présence de fourmillements sur ces zones.

Un soulagement ressenti le plus souvent en position allongée.

Il existe des formes plus graves : la sciatique paralysante avec déficit moteur de la jambe, la sciatique hyperalgique (non calmée par des médicaments antalgiques habituels), la sciatique associé à un syndrome de la queue de cheval avec atteintes d’autres racines nerveuses associant une perte de sensibilité du périnée, des troubles du contrôle des sphincters urinaire et/ou anal et des troubles moteurs des membres inférieurs (paralysie ou perte de la force)

Quel est le traitement médical?

Le médecin examine son patient et détermine s’il s’agit d’une sciatique L5 ou S1. Les examens complémentaires ne sont pas nécessaires sauf en cas de sciatique compliquée ou prolongée. Le traitement est essentiellement médicamenteux et une rééducation peut être utile à distance de l’épisode douloureux.

Généralement, votre médecin traitant prescrira des antalgiques, des anti-inflammatoires, des myorelaxants, il pourra également vous proposer des séances de kinésithérapie (une fois la douleur aiguë passée) ou vous adresser à un rhumatologue ou un chirurgien en cas de sciatique persistante, récidivante ou invalidante.

Un arrêt de travail de plusieurs jours à quelques semaines pourra être proposé dont la fonction sera fonction d’un ensemble de paramètres .

Quel est l'apport de la réflexologie ?

Sous réserve d’être réceptif aux techniques de la réflexologie et en fonction de la compétence du réflexologue, le recours à un soin de réflexologie, entrant dans le champ d’application des techniques naturelles de bien-être et complémentaire à la médecine conventionnelle peut-être d’une efficacité remarquable.

En réflexologie plantaire on stimulera la colonne vertébrale (en insistant sur la partie sacrée) et le nerf sciatique (par reptation).

En réflexologie palmaire, on ajoutera en reptation le genou, la hanche et l’articulation sacro-iliaque en pression.

En réflexologie faciale, on stimulera la zone de la colonne vertébrale ainsi que la tête sur la représentation de l’homme scratch, la tête et le bassin sur le « penseur » et on exercera des pressions sur les points 17,127 et 113.

En auriculothérapie, pressez avec votre doigt le point maître des membres inférieur 20 fois puis l’on pressera ou pétrira 20 fois avec son doigt la zone du nerf sciatique et des vertèbres lombaires et sacrées.

En digitopuncture masser durant deux minutes, deux à trois fois par jour, les points 30 & 34 VB (vésicule biliaire).

pour aller plus loin

Apprendre la réflexologie familiale pour les petits maux du quotidien  : le livre de la réflexologie pour tous

Apprendre la réflexologie : la formation par correspondance pour apprendre la réflexologie familiale

Devenir Réflexologue professionnel : la e-conférence gratuite pour tout savoir avant de choisir son centre de formation

où trouver un réflexologue professionnel ?

Sous réserve d’être réceptif aux techniques de la réflexologie et en fonction de la compétence du réflexologue, le recours à un soin de réflexologie, entrant dans le champ d’application des techniques naturelles de bien-être et complémentaire à la médecine conventionnelle peut-être d’une efficacité remarquable.

En réflexologie plantaire on stimulera la colonne vertébrale (en insistant sur la partie sacrée) et le nerf sciatique (par reptation).

En réflexologie palmaire, on ajoutera en reptation le genou, la hanche et l’articulation sacro-iliaque en pression.

En réflexologie faciale, on stimulera la zone de la colonne vertébrale ainsi que la tête sur la représentation de l’homme scratch, la tête et le bassin sur le « penseur » et on exercera des pressions sur les points 17,127 et 113.

En auriculothérapie, pressez avec votre doigt le point maître des membres inférieur 20 fois puis l’on pressera ou pétrira 20 fois avec son doigt la zone du nerf sciatique et des vertèbres lombaires et sacrées.

En digitopuncture masser durant deux minutes, deux à trois fois par jour, les points 30 & 34 VB (vésicule biliaire).

L'annuaire des réflexologues, membres-praticiens de la fédération internationale F.I.R.M.A.

L'annuaire des réflexologue de France


Sources :

Sécurité sociale / Assurance-maladie / amelie-sante.fr / Ministère de la Santé et des Solidarités / I.N.P.E.S. / Faculté Francophone des Médecines intégrées / Docteur Jean-Yves HENRY / F.I.R.M.A. / A.R.F.