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300- Les bons résultats à l’école sont une garantie de succès dans la vie

Les bons résultats à l’école sont une garantie de succès dans la vie


La personne ci-dessus est Howard Gardner. C’est un enseignant et psychologue du développement américain d’origine hébraïque. Les arguments de son travail proviennent des observations obtenues entre la scolarisation des enfants et leurs âges adultes et montrent qu’il n’y a aucune corrélation directe entre la performance scolaire et la réussite dans la vie. Gardner pour qui les études et la théorie des intelligences multiples sont liés, a été le premier à démanteler décennies de recherches sur l’intelligence, par rapport à la vision scientifique dominante qui ne tenait pas compte de l’interférence de la vie mentale émotionnelle.

En effet, la vision de la science humaine a énormément changé depuis que la psychologie a compris le pouvoir des émotions dans la vie des personnes.

Les intelligences multiples

Si nous sommes arrivés à ces conclusions, qui est aujourd’hui un fait acquis par les neurosciences, nous le devons aussi à sa contribution. Le mot clé de cette nouvelle conception de l’intelligence humaine est multiple. C’est-à-dire, Gardner démontre l’information infondée de la vision de l’intelligence comme facteur unitaire immuable et mesurable en termes de Q.I. au bénéfice d’une vision dynamique, dont les conclusions sont, par essence, la synthèse d’une gamme de talents. Il en identifie sept différents dont les individus tendent à développer certains plus que d’autres :

1. Intelligence Logico-mathématique
2. Intelligence Linguistique, intégrant l’intelligence scolaire
3. Intelligence Spatiale, typique des artistes
4. Intelligence Musicale
5. Intelligence Kinesthésique, observable dans la fluidité des mouvements
6. Intelligence Intrapersonnelle, qui provient de l’introspection efficace et de la réflexion autour de soi
7. Intelligence Interpersonnelle, typique des grands leaders

L’intelligence personnelle

Les dernières Ces trois dernières constituent l’intelligence personnelle et c’est précisément à celle-ci où il accorde une attention particulière à la désapprobation d’une vision dépassée des psychologues cognitivistes, selon lesquels l’intelligence était le résultat d’un traitement froid et méthodique des faits.

Comparant :

> Ses recherches avec des classes appelé le projet « Spectre » (où les meilleurs élèves se sont vus offrir des épreuves basées sur des talents différents avec des résultats qui démentaient les évaluations des écoles)

> avec deux enquêtes conduites par George Vaillant ; la première sur 95 étudiants de Harward (suite aux résultats obtenus, les étudiants plus talentueux à l’âge adulte ne se différenciaient pas vis-à-vis aux moins aptes durant les années du Collège),

> la deuxième enquête sur un étalon de 450 étudiants pré-adolescents (qui établit qu’à l’âge de 47 ans, le 7% qui possédait un QI, mesuré avec l’échelle Standford-Binet, inférieur à 80, était dans des conditions de travail précaire exactement comme le même pourcentage des étudiants avec un QI supérieur à 100 durant les années scolaires),

il a été simplement seulement possible observer une interrelation générale entre les niveaux de QI et le niveau socio-économique atteint. Mais aussi que la grande différence a été faite constaté sur par les autres compétences acquises au cours des années du début de la recherche, telles que :

> la capacité de tolérer et dépasser les frustrations de la vie,
> contrôler les émotions, et
> s’entendre avec les autres

Le succès personnel

En d’autres termes, le facteur discriminant de la réussite personnelle est et demeure l’intelligence globale dans laquelle l’empathie et l’intelligence émotionnelle jouent un grand rôle.

En effet, elle résulte fondamentale comme objectif, du moment qu’elle détermine à quel point les personnes réussiront à utiliser leur propre capacité (donc celle typiquement intellectuelles).

Le QI examiné chez les jeunes étudiants selon les études de Gardner contribue au maximum à 20% à la réussite dans la vie adulte, restant les 80% de toutes les autres compétences décrites.
Savoir, par conséquent, qu’un homme (ou une femme) a été un élève brillant peut, tout au plus, prédire son succès et démontrer une habileté scolaire, qui n’informe pas sur sa réaction aux vicissitudes de la vie.

Le succès personnel

En d’autres termes, le facteur discriminant de la réussite personnelle est et demeure l’intelligence globale dans laquelle l’empathie et l’intelligence émotionnelle jouent un grand rôle.

En effet, elle résulte fondamentale comme objectif, du moment qu’elle détermine à quel point les personnes réussiront à utiliser leur propre capacité (donc celle typiquement intellectuelles).

Le QI examiné chez les jeunes étudiants selon les études de Gardner contribue au maximum à 20% à la réussite dans la vie adulte, restant les 80% de toutes les autres compétences décrites.
Savoir, par conséquent, qu’un homme (ou une femme) a été un élève brillant peut, tout au plus, prédire son succès et démontrer une habileté scolaire, qui n’informe pas sur sa réaction aux vicissitudes de la vie.

L’école comme éducation à la vie

Quel est donc le rôle de l’école ?

Dans cette vision, l’école comme éducation à la vie n’est plus celle des meilleurs, celle qui souhaite uniformiser la préparation de tous au même standard par les programmes éducatifs mais celle qui peut améliorer les ressources et les talents personnels. Encourager les étudiants à développer la gamme complète des compétences, y compris celles que chacun pourra exploiter pour obtenir la réussite.

Il suffirait de considérer une classe comme l’embryon d’une société dans lequel il y aurait le Maire, l’avocat, l’ingénieur, le politicien, le mécanicien, le musicien, l’employé, le graphiste publicitaire, etc.

Si l’on considère cela, l’enseignement peut être basé sur des méthodes transversales de proposition d’enseignement.

Afin d’émerger les talents et les ressources individuelles sans que l’idée d’enseignement soit mise au registre des attentes de l’école (ou de l’enseignant, parfois) qui voudraient (ou agiraient comme s’il s’y attendait) une société composée uniquement de maires ou d’ingénieurs !

Pour aboutir à ceci, il existe qu’un seul chemin : valoriser les dimensions émotives de l’enseignement. Le « comment » qui rend les contenus accessibles à tous.

Eric Gimbert,
Adaptation française des écrits de Stefano Centonze,
auteur de : Intelligenza Emotiva

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